Revivons les grands moments de l’histoire de l’Équipe de France à travers plusieurs épisodes courts de la rubrique « Souvenirs de la FFFA”. Ce rendez-vous captivant revient pour une série d’épisodes spéciaux d’interviews avec d’anciens et actuels joueurs de l’Équipe de France, dévoilant des anecdotes inoubliables et souvent méconnues du grand public.
Nous avons demandé à plusieurs figures du football américain français leur meilleur souvenir. Voici un premier épisode spécial de cette série qui compte désormais 7 articles. Retrouvez les 7 premiers épisodes en cliquant ici.
À l’ensemble des participants, il a été demandé son nombre de sélection, ses années en Équipe de France, le nom de son head coach, ses meilleurs et pires souvenirs ainsi qu’une anecdote.
lionel friedrich – meteores
Quel était son Head Coach : Alain Fréchette puis Marc Santerre
Quand on lui demande son meilleur souvenir : « France vs Italie à Bondoufle. Titulaire sûr punt return pour aller contrer le punt, une fois sur le terrain, on s’aperçoit qu’il joue la 4/3 en empty. Je me retrouve face au slot double nationalité américaine. J’arrive à battre la balle. 1/10 pour la France. Si j’avais intercepté, le TD était à moi. On a perdu 7/06. »
Quand on lui demande son pire souvenir : « Un stage en Bretagne. Trop chaud. Trop de soleil. Tout rouge. Oui en Bretagne ».
Quand on lui demande de nous raconter une anecdote : « En 1995, ne pouvant pas venir à un stage/match EDF, j’ai proposé à Thierry SOLER un jeune receveur, je n’ai plus jamais été invité en EDF. Le joueur était un certain Marc-Angelo SOUMAH ».
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Lionel Friedrich
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Lionel Friedrich tout à droite
JÉRÔME COULET – JETS
Quel était son Head Coach : Paul Troth, Luc Bouchard, Bob Carroll et Marc Santerre
Quand on lui demande son meilleur souvenir : « Les regroupements de l’EDF. J’adorais ça, revoir toutes les tronches d’abrutis de mes potes des autres équipes et le plaisir de jouer ensemble.»
Quand on lui demande son pire souvenir : « Plutôt des regrets. Beaucoup de défaites, car on avait rarement les meilleurs QB français disponibles pour les matches (pour plein de raison), ex Jean-Pierre Costes pas disponible en 87, Poncin et Miraval en 1994, surtout contre l’Italie (Xavier était là contre l’Espagne). On avait vraiment une bonne équipe en 94. ».
Quand on lui demande de nous raconter une anecdote : « En 1985 : j’avais 17 ans, 1ᵉʳ sélection, on revient de la banlieue de Londres où on avait joué la Grande-Bretagne (on perd 7-0). On débarque à Paris à 3 h 30 du matin devant le bar de Claude Levaut (président des Castors de Paris) et tout le monde se barre et je me retrouve tout seul Porte de St Ouen. J’appelle mes parents au milieu de la nuit pour qu’ils viennent me chercher (on habitait au Perreux). Ma carrière de footeux a failli se terminer là tellement mon père était furieux ! À l’époque, le foot était organisé avec les moyens du bord ».